SI VOUS AVEZ OUVERT CETTE PAGE, C'EST QUE LE CHIEN D'ARRÊT VOUS INTERESSE, NOUS NE POUVONS QUE VOUS FELICITER CAR SE SONT TOUS DES CHIENS MERVEILLEUX.
Vous cherchez à acheter un chien ou un chiot et vous n'avez pas le temps de visiter
un site ou un livre qui raconte comment vous devez agir, cette page est pour vous,
elle va à l'essentiel.
Les réponses à vos questions les plus fréquentes.
Pourquoi m'adresser à un dresseur professionnel ?
Quest-ce que le débourage, le dressage chasse ?
Comment acheter un chiot, quelle race choisir ?
Quest-ce que le field-trial ?
Vous vous êtes sûrement posé un jour ou l'autre ce type de question.
L'association se propose donc de répondre à certaines de vos intérrogations les plus fréquentes.
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* Parce que l'imitation n'egalera jamais la création "
Les méthodes ci-dessous sont tiré de plusieurs ouvrages et de mes expériences personnelles.
Je ne me permettrais pas de dire qu'elle est " l'arme absolue " du dressage du chien de chasse, mais elles sont faites pour aider le futur acquéreur d'un chien ou pour le maître qui cherche des renseignements pour perfectionner le dressage de son chien de chasse.
Vous y trouverez des conseils sur le développement du chien, des conseils sur l'obéissance et le perfectionnement de l'éducation du chien de chasse.
Avant tout, sachez que l'éducation sera la clé de la réussite. Elle devra être menée avec patience, fermeté et ténacité. Et grâce à ces moments passés avec votre chien, ce sera l'amitié et l'attachement mutuel qui sortiront vainqueurs de ces efforts.
Avant d'aborder concrètement les différents aspects du dressage ainsi que les techniques à mettre en oeuvre, il est souhaitable de préciser quelques règles simples que tout propriétaire de chiens de chasse doit connaître. Négliger d'en tenir compte ne mène pas forcément à l'échec total, mais conduit souvent à un résultat médiocre, largement en deçà de ce que le potentiel du chien initialement laissait espérer.
* Comment débuter avec un jeune chien à la chasse sans faire de fausse manoeuvre ?
Beaucoup trop de jeunes chiens sont amenés à la chasse sans aucune préparation préalable, sans savoir pourquoi ils sont lâchés dans la nature et sans savoir quel rôle ils auront à y jouer.
Tous les propriétaires les souhaiteraient semblables à leur ancien chien, ce qui est difficilement réalisable dans un premier temps.
La majorité des chiens qui sont confiés à un dresseur ont subi cette démarche et arrivent avec la crainte de l'homme, du gibier et parfois du coup de feu. Il est important alors de redonner à ces chiens-là l'intérêt du gibier, de la recherche, en fait la passion de la chasse. Il est dommage de voir de jeunes sujets prometteurs gâchés suite à un mauvais départ.
Le premier conseil à donner aux propriétaires est de ne pas aller trop vite en besogne et de développer l'action " gibier/coup de feu " avant les premières sorties. Il est important de laisser faire l'élève, sans user d'outils électroniques. Il faut préférer un bon contact lors de la quête à un rappel trop réducteur pour le jeune chien. le dressage viendra par la suite.
1 Il faut développer chez l'élève le plaisir de trouver et favoriser le tir de pièces arrêtées. 2 Il faut impliquer le jeune dans des actions en lui laissant toute initiative au risque qu'il fasse voler, en lui évitant toute pétarade à répétition.
3 Il est important d'apprendre avant de sanctionner dans le vide, pour éviter toute incompréhension. 4 Il faut savoir être patient et prendre du plaisir avec son chien, pour être sûr de gagné en résultats.
* A quel âge doit-on débuter le dressage d'un jeune chien ?
Il n'y a pas d'âge précis, mais la période la plus favorable se situe entre 12 et 18 mois. Par contre il est important de faire le distingo entre le débourrage et le dressage.
Le débourrage c'est l'initiation à la chasse d'un jeune chien, par la mise en éveil de ses qualités naturelles. Ses limites en sont une très bonne obéissance, un arrêt ferme et une quête approximative sous le fusil, tout en ayant une bonne connaissance du rapport coup de feu/gibier.
DEFINITION DU CHIEN DEBOURRE
UN CHIEN DEBOURRE C'EST :
EN RESUME : C'est un chien qui a subi un début de dressage sans contrainte, il est indispensable que le chien montre qu'il est capable de tenir un arrêt sur n'importe quel gibier lâché, sans pour cela être sage à l'envol et au coup de feu.
De ces coups de feu il ne doit manifesté aucune crainte. Il aura un minimum d'obéissance en général qui sera perfectionné, sachant que ce chien aura normalement entre 8 et 18 mois.
En fonction de son stade de préparation et de ses origines, si l'on considère que le débourrage est un pré-dressage, il vous faudra compter
entre 1000 et 2500euros pour acquérir un de ces chiens en fonction de l'âge et du niveau de travail effectué.
Le dressage demande beaucoup plus d'interdits, de retenue, de réserve et d'attention à mettre en place dans la tête du chien. Un chien qui doit supporter un dressage doit avoir de l'expérience. Celle-ci n'est pas obligatoirement liée à l'âge. Il doit avoir une idée précise de l'acte de chasse, pas une saison entière avec quelques occasions, ou de longues sorties sans rencontres, mais des interdits. Il est important que le chien ait une fréquence suffisante de mise en présence avec des actions claires et précises du travail d'un Chien d'Arrêt. Une quarantaine de pièces tuées à son arrêt éveilleront son bon sens et l'aideront à supporter les contraintes techniques du dressage.
C'est pour cette raison que l'âge du sujet à dresser ne doit pas être une limite.
Un chien de 15 mois ayant un propriétaire soucieux de son devenir sera plus apte à recevoir un dressage poussé, qu'un autre de 3 ans n'ayant aucune expérience. Il n'en est pas moins vrai que ce sujet remis dans des conditions normales de chasse, une fois passionné, aura certainement plus de mal à s e faire au dressage, mais s'il a de bonnes qualités naturelles pourra recevoir et accepter ce dressage.
DEFINITION DU CHIEN DRESSE
UN CHIEN DRESSE C'EST :
EN RESUME : Le même chien qui, plus mûr, aura supporté un
pré-dressage.
L'arrêt sera ferme, la sagesse à l'envol et au coup de feu sera absolue.
L' obéissance et le rappel en particulier auront été obtenus au sifflet où à la voix.
Ce chien aura une expérience de la chasse en dehors de l'environnement dans lequel il aura été dressé. Le rapport sera en option.
Il aura au minimum 1 an.
Il vous faudra compter pour ce chien pas moins de 2000euros.
OBSERVATION
Une démonstration sur le terrain permettra toujours d'évaluer le stade du débourrage ou la perfection du dressage avant une future acquisition.
A MEDITER
ATTENTION : Un dressage peut rapidement se dégrader en fonction d'une mauvaise utilisation.
Pour le dressage il vous faut compter de 6 à 8 semaines et il vous en coûtera de 900€ à 1200€ ou entre 150€ à 180€ la semaine.
Pour le dressage à la leçon avec le maître, il y a des forfaits de 600€ pour 10
leçons.
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LE TANDEM DU BONHEUR D'ÊTRE CHASSEURS
Les Français aiment les chiens, c'est un fait. Notre pays en compte 8 millions, de 330 races différentes. Sur ces 8 millions de compagnons, la moitié sont des chiens de chasse répartis en 150 races différentes. si tous ne chassent pas - c'est bien dommage car c'est là leur raison d'être - l'immense majorité exerce ses talents dans nos plaines, bois, marais et montagnes.
Ce vif succès du chien de chasse, s'il doit être rappelé, n'est cependant pas étonnant.
Entre le chasseur et le chien, il y a plus que de l'affection une complémentarité dans l'acte de chasse et une complicité dans le plaisir qu'il procure. Envoyez le maître à la chasse sans son chien, et vous le verrez errer comme une âme en peine, trouvant peu de goût à la traque qui le passionnait auparavant, rentrant le carnier plat et la mine désabusée.
C'est que le chien, à la chasse, est à la fois utile et agréable. Utile, car dans cette confrontation à l'animal sauvage, il apporte au chasseur ce qui lui fait défaut en animalité, notamment le flair, indispensable pour trouver et retrouver le gibier.
Agréable, car il élève la chasse au sublime. Nos coeurs battent plus fort quand un chien d'arrêt bloque un perdreau dans les betteraves, quand il fait gicler des ronces une bécasse, quand un courant donne de la voix sur le sanglier levé et que, dans les minutes suivantes, toute la meute rallie joyeusement. De même, le chasseur anxieux après un coup de fusil ou de carabine délicat retrouvera un grand sourire en voyant le labrador apparaître avec le canard dans la gueule, ou le chien de sang assis près du sanglier mort. Tout cela nous fait vibrer, et donne tout son sens à la chasse.
Le chien nous rappelle combien la chasse est un acte naturel. Il exerce avec un instinct qui sera perfectionné par la sélection des races et le dressage.
Toute règle a ses exceptions mais à celle-ci, elles sont rarissimes :
un chien de chasse n'est jamais malheureux ! Point de maltraitance dans nos rangs ! Et quand tous deux rentrent d'une journée, fourbus, le chasseur n'aura de cesse que son chien se sente bien. Au coin du feu, le premier dans son fauteuil lève un instant les yeux, croise le regard du second dans son panier, et tous deux revivent en un instant la belle journée passée.
Un chasseur avec son chien, est un chasseur heureux !
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1. VRAI ou FAUX
1. Les chiennes chassent mieux que les chiens
2. Laisser un chien rapporter trop jeune peut l'inciter à ne plus arrêter
3. Plus un chien arrête le gibier de loin, plus il a de nez
2. VRAI et FAUX
C'est une idée assez répandue chez les chasseurs qui désirent acquérir un chiot. Par contre, tous ceux qui recherchent un chien débourré ou dressé préfèrent porter leur choix sur un mâle.
Le sexe influe d'une certaine façon sur la valeur d'un chien de chasse. En effet, dans la nature, une femelle doit obligatoirement chasser pour nourrir sa portée, alors que le mâle agit beaucoup plus pour son propre compte. Il est plus autonome et ainsi, peut être amené à prendre plus de risques pour capturer ses proies tandis que la femelle est plus opportuniste et a toujours le souci de se préserver et par la même de protéger ses petits.
De ce fait naturel, la chienne est souvent très proche de son maître et chasse pour lui alors que le mâle a tendance à travailler pour son propre compte. Une fois dressé, le caractère dominant et indépendant du mâle est une qualité très recherchée par les amateurs de field-trial car pour cette raison, le très grand chien sera très souvent un mâle même si de temps en temps on rencontre certaines femelles qui ont de vrais caractères de mâle comme par exemple chez les braques allemands.
En réalité, dans la nature, pour perpétuer l'espèce et surtout ses qualités, il faut beaucoup de bonnes reproductrices et très peu de mâles mais exceptionnels. Au fil du temps et des repas de chasse, les chasseurs se sont imprégnés de ces deux raisons qui leur font très souvent préférer l'acquisition d'un chiot femelle : optimiser les chances d'avoir un bon chien qui a du contact.
Les femelles présentent pourtant un défaut majeur : leur sexe. Les hormones sont l'ennemi du chasseur et du présentateur de field-trial : qui n'a pas eu sa chienne en chaleur le jour de l'ouverture, qui n'a pas fait forfait sa meilleure trialer pour cause de montée de lait ?
Deux fois par an, le même cycle se répète. Une semaine avant ses chaleurs, elle est surexcitée et galope comme jamais, presque intenables pour certaines, elle en oublie les perdreaux. Cette phase dure jusqu'à l'arrivée des premières gouttes de sang qui annonce un coup de fatigue brutal : elle semble bientôt épuisée et ne courre presque plus. Dès que la saillie est passée, elle reprend quelques forces mais plus l'heure de la mise bas approche et plus elle évite les efforts violents qui pourraient mettre en danger sa gestation. Deux mois plus tard, c'est l'heure de l'allaitement et donc de la prudence car elle sait que toute sa portée dépend d'elle et de l'abondance de son lait. C'est le temps des faux arrêts : expression même d'une prudence exacerbée. Après 4 ou 5 semaines, c'est le moment du sevrage et il faut chasser pour nourrir tout ce petit monde. A cet instant précis, la chienne devient une redoutable chasseresse, opportuniste et infatigable. Toute ces phases ont lieu que la chienne ait ou pas des chiots, si bien que tout compte fait, elle est au meilleur de ses moyens que quatre mois par an.
Quand on achète un chien dressé ou débourré, on peut juger de ses qualités sur pièce, contrairement à un chiot et c'est sans doute pourquoi les chasseurs qui veulent acquérir un chien prêt à chasser préfèrent souvent un mâle : ils sont certain d'avoir un bon chien toute l'année et avec un peu de chance, peut-être un crack.
3. FAUX
C'est une idée fausse fortement répandue chez les chasseurs et parfois même chez certains trialisants. Certains chiens arrêtent de très loin et il faut les faire couler 30 à 40 mètres avant de voir les oiseaux voler. très souvent, cette action très spectaculaire pour le néophyte, intervient sur du gibier sauvage qui piète.
Dans ce cas, il faut vérifier si ce même chien est capable de rééditer un tel exploit sur du gibier d'élevage. Un faisan posé ou endormi, arrêté à une cinquantaine de mètres alors que les meilleurs chiens les arrêtent à 7 ou 8 mètres serait de l'ordre du miraculeux.
C'est rarement le cas et le prodige arrête à peu près à la même distance que les autres. Il faut donc bien se rendre à l'évidence, cet arrêt de longueur a été provoqué par les places chaudes ou les pistes des oiseaux qui se défilaient devant lui et qui ont fini par voler dans l'axe après ce long coulé. C'est plus sûrement un manque de décision qu'une puissance de nez au dessus de la moyenne.
A propos du coulé : citons J-C Darrigade, juge de grande quête " il faut savoir que le coulé est une rectification d'une mauvaise appréciation du chien de la place exacte des oiseaux. Les très grands chiens n'ont généralement pas besoin de couler ".
Tout est dit.
En réalité, la longueur du coulé du chien indécis est égale à la longueur de la remontée d'émanation qu'aurait effectué un grand chien dans les mêmes conditions.
Ce chien qui arrête de très loin a donc une excellente puissance de nez mais il l'utilise mal soit par manque d'intelligence, soit à cause de fautes de dressage. La longueur de la remontée d'émanation est un bien meilleur indice pour évaluer la puissance de nez mais certaines races donnent parfois peu d'indications au moment exact où ils ont connaissance des oiseaux. Parfois, dans le meilleur des cas, un léger petit coup de tête dans le vent, puis plus rien avant l'arrêt.
Un chien qui bloque tous ses oiseaux sans les faire voler et qui n'en oublie jamais a forcément un grand nez : c'est parfois la seule explication.
FAUX
Arrêt et rapport sont deux actions complémentaires et non contradictoires. Le chien arrête dans le but de tenter de s'emparer d'un gibier dont il suppose les qualités physiques supérieures aux siennes : L'oiseau vole et la plupart du gibier à poil est plus rapide que lui. L'arrêt lui permet d'être au plus près de sa proie pour bénéficier d'un effet de surprise avant que celle-ci s'envole ou atteigne sa vitesse de pointe. C'est un acte instinctif que l'on retrouve chez certains félins. Le rapport est un acte appris ou conditionné par le dressage ou l'atavisme : ce n'est pas une stratégie de chasse.
En réalité, si un chien casse son arrêt, c'est qu'il estime être en mesure de capturer sa proie sans l'arrêter et peu importe s'il rapportera ou pas celle-ci, il lui suffit de s'en emparer pour satisfaire son instinct de chasseur.
Il y a deux cas de figure :
1/ il casse son arrêt et attrape son gibier avant même que celui-ci n'ait pu s'enfuir. Bref, il se sert tout seul mais continue d'arrêter parce que l'arrêt fait toujours partie de sa stratégie de capture.
2/ il n'arrête plus et met l'oiseau à l'envol pour le poursuivre et finit par s'en saisir quand celui-ci va se reposer.
Dans le premier cas, tout a commencé avec quelques oiseaux d'élevage endormis peu enclins à voler et le jeune chien s'est vite aperçu qu'il lui suffisait de les arrêter puis de les " choper " à terre pour pouvoir ensuite les tuer, ce qui est l'objectif final de tout prédateur. Accessoirement, il rapportera.
Dans les deux cas, ce n'est pas le rapport qui a cassé l'arrêt du chien mais quelques rencontres avec du gibier de mauvaise qualité. Ce genre de situation ne se produit jamais avec du gibier sauvage. L'oiseau se laisse arrêter mais s'envole si le chien marche sur son arrêt et s'enfuit définitivement hors de sa portée. Il n'y a rapport que si le chasseur tire l'oiseau. très rapidement, le chien assimile que s'il arrête, le gibier est tiré et qu'il peut le rapporter. Le rapport renforce l'arrêt.
En conclusion, le rapport en lui-même ne nuit pas à l'arrêt sauf si le gibier n'est pas d'excellente qualité, c'est-à-dire très volant ou sauf si l'on
tire des oiseaux non arrêtés par le chien.
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LE CHIEN D'ARRÊT, INTRODUCTION
A SAVOIR : Qu'il soit destiné à la chasse pratique ou à une carrière en compétition, le chien doit
recevoir les mêmes bases d'éducation.
Ensuite les possibilités de chaque individu, la génétique et surtout les qualités
naturelles feront la différence.
LES CHIENS D'ARRÊT :
Qu'ils soient Britanniques ou Continentaux, les chiens d'arrêt ont pour mission de quêter pour trouver le gibier puis de s'immobiliser durablement de façon plus ou moins brutale après la prise d'émanation, tendus comme un arc en direction du gibier.
La distance d'arrêt doit être suffisamment longue pour que le gibier ne se lève pas et suffisamment courte pour le bloquer sur place.
On distingue traditionnellement dans les chiens d'arrêt :
1* Les chien Britanniques, Pointers et Setters
2* Les chiens Continentaux, Epagneuls, Braques, Griffons, etc...
LE PETIT MUNSTERLANDER, Un chien de chasse efficace.
C'est un chien d'arrêt efficace avec un nez très développé, chien polyvalent, broussailleur, il est également un formidable bécassier, il excelle également au marais, doué d'un rapport pratiquement naturel, il se montre également très efficace sur le grand gibier avec des fermes d'une excellente précision.
J'ai le bonheur d'avoir 3 Petits Munsterlanders, Ugoline 10ans, Big-Gim 6ans et Iron 4mois, une histoire qui dure depuis 10ans. Merveilleux chiens, le matin au ferme sur un sanglier et l'après midi en arrêt sur lièvre ou perdreaux....
UN VRAI COMPAGNON A LA CHASSE, il est un fidèle compagnon à la chasse, vif mais réfléchi, il vous fera tirer du gibier dans les meilleurs conditions possible.
LE CHIOT, il vous fera craquer par son regard, sa gentillesse et son intelligence, à ce sujet il vous
transmet un message : occupez vous de moi et je vous donnerai tout ce que j'ai de meilleur en moi.
Si vous cherchez un chien polyvalent, un petit mot sur la polyvalence
Quand on aime la chasse aux chiens polyvalents, on ne peut louper le Petit Munsterlander
Un chien polyvalent est un chien de chasse pratique, bois, plaine, eau, petit et grand gibier, ce qu'on lui demande ce n'est pas d'avoir un style plus qu'un autre, mais d'être efficace car ce chien doit savoir tout faire ou presque.
Un chien polyvalent est un chien de chasse pratique et pour l'utiliser à bon escient cela demande une formation solide du maître.
Exercices fondamentaux de formation du chien polyvalent : les grands principes
1) Rappel impeccable en toute circonstance, notamment en présence de gibier ou le rappel est
primordiale, il est même indispensable à l'expression et au développement des qualités naturelles
de votre auxiliaire.
2) La marche au pied, avec et sans laisse est absolument essentielle car elle fait partie du point
de dressage qui doit être parfaitement acquis.
3) Assis et sagesse au poste, dans cette position qui sera également fondamentale lors d'une
passée au canard et de l'apprentissage du rapport.
4) Le rapport impeccable et l'obéissance, il doit obéir et rapporter parfaitement quelque soient la
situation et le biotope. Et, d'une façon générale le contact avec le conducteur.
En résumé, le chien polyvalent doit pouvoir assister son maître tant à la chasse du petit gibier, qu'à l'approche du brocard, et, la poursuite d'une bête noir.
Alors si vous cherchez un chien polyvalent permettez moi de vous donner un conseil :
Pour en posséder 3 et après de longue réflexion le Petit Munsterlander est le chien polyvalent par excellence (cela n'engage que moi), concernant notre biotope c'est un chien qui fait de plus en plus d'adeptes, tant ces capacités sont grandes. Je l'utilise pour sa grande polyvalence : c'est pour moi le chien de toute les chasses et, en restant avant tout un grand chien d'arrêt. C'est un chien qui a énormément de tonus et qui est très fougueux, il apprend très vite et, il suffit de savoir le canaliser pour en faire un chien d'exception.
Ces qualités à la chasse sont énormes :
En plaine, c'est un chien qui chasse en quête moyenne. Il arrête tous les gibiers, en marquant un arrêt franc, si les oiseaux piètent, il coulera doucement derrière ceux-ci, restera sage à l'envol et au coup de fusil et rapportera délicatement à son maître. Il mène également le gibier à poil en plaine et au bois. En plaine son rappel est irréprochable.
En milieu bocager, c'est un formidable broussailleur.
En zone humide, il va à l'ordre débusquer les canards cachés dans les roseaux, il reste sage à vos pieds lors d'une passée et rapporte le gibier prélevé ou blessé.
Au bois, c'est un réel plaisir, il peut vous marquer l'arrêt sur une bécasse ou un chevreuil et faire des fermes splendides sur des sangliers sans être " kamikase ".
Il mène le gibier rarement loin et s'il sort de l'enceinte traquée c'est sûrement parce qu'un gibier est blessé. On peut également l'utiliser pour la recherche au sang, c'est pour vous dire que ce chien a un potentiel énorme. En plus de ses nombreuses qualités en matière de chasse, c'est un chien très agréable à vivre, qui sait être un membre de la famille à part entière : c'est un adorable chien de compagnie et un très bon gardien, mais attention à ceux qui voudraient s'en accaparer un, car :
" l'essayer c'est l'adopter ", vous ne pourrez plus vous en passer.
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A l'exclusion d'une minorité de chasseurs qui se vouent exclusivement à la recherche d'un seul gibier, le chasseur en général n'hésite pas souvent à mélanger dans sa besace plume et poil, au hasard des rencontres sur le terrain. Il débute souvent la saison par la perdrix, le faisan, le lièvre ou le lapin, pour terminer par la bécasse si son territoire héberge notre belle et précieuse mordorée.
Outre les affinités propres de chacun d'entre nous pour telle ou telle race canine ou tel ou tel mode de chasse, nombre d'entre nous se posent parfois la question de savoir quelle race de chien conviendrait le mieux à leur façon de chasser et s'accommoderait des différents gibiers présents sur un territoire tout au long de la saison de chasse.
Des chiens pour tous les goûts et tous les gibiers
Les amateurs de petit gibier, qu'ils soient bécassiers, sauvaginiers ou autres lapiniers peuvent manifestement être contents. La plupart des races de chiens de chasse peuvent les accompagner sur le terrain. Il n'y a que l'embarras du choix, et ce ne sont pas non plus les combinaisons qui manquent : chien d'arrêt et retriever, spaniel et retriever par exemple.
Qu'elles soient Grises ou Rouge, les Perdrix mériteraient d'être chassées uniquement au chien d'arrêt. Les plaines ou elles ont su se maintenir en densité suffisante sont le terrain de prédilection des races de chiens d'arrêt au nez fin et à la quête ample : races Britanniques évidemment, mais aussi Continentales comme Epagneuls et Braques. Il n'y a qu'à assister aux épreuves de Field Trial de printemps pour mesurer le degré de performance atteint par certaines de ces races sur les Perdreaux de l'Aube et de Seine et Marne !
Là où la chasse au chien d'arrêt a cédé la place, aux
Le Pointer est souvent considéré comme battues il peut être particulièrement utile de s'adjoindre
le Seigneur des chiens d'arrêt. Sa finesse les services d'un retriever, si possible issu d'une lignée de
de nez, sa grandeur de quête et ses arrêts travail, pour retrouver plus facilement les oiseaux abattus
empreints d'une certaine brutalité ravissent et désailés. Dans les milieux bocagers ou les vignes.Les
les chasseurs de plaine à l'âme sportive. les spaniels peuvent aussi convenir.
Vaste question ! Disons - le tout de suite, il n'est pas possible de répondre sur le champ à cette question, tant les paramètres qui peuvent gouverner ce choix sont nombreux voire passionnels.
Déjà, il faut prendre en compte l'usage que vous prévoyez de faire de votre compagnon et le type de chasse que vous pratiquez...
Si votre chasse comprend que des grandes étendues, envisagez le choix d'un chien Anglais à grande quête comme les Pointers et les Setters.
Si votre chasse est très morcelée, entrecoupée de bosquets, de mares ou de marais, il s'agit la d'un terrain de prédilection pour les chiens de race Continentale comme l'Epagneul Breton, le Griffon Korthals ou le Munsterlander.
Si vous aimez chasser devant vous à courte distance, oubliez les pointers et autres dévoreurs de plaine et optez par exemple pour un springer. Il faut en effet conserver au chien les allures inhérentes à sa race et ne pas lui " couper les pattes ". Ensuite, n'oubliez pas que votre chien ne chasse pas 365 jours par an, que vous habitez peut - être en ville et que vos occupations professionnelles ne vous permettent pas ou ne vous laissent pas beaucoup de temps pour laisser votre chien courir sans entrave dans les champs. Habitera t-il alors dans un chenil ou dans la maison ? Ces critères peuvent aussi peser dans votre choix.
Reste le coeur. On accroche ou on accroche pas avec telle ou telle race, si bonne soit-elle.
Les conseils, si tant est qu'on puisse en donner, passent alors souvent au second plan !
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Les choses sont ici plus simples. Vous allez acquérir un jeune chien âgé de 6 à 16 mois, qui aura déjà assimilé un début de dressage sans contrainte. Il connaîtra l'obéissance de base et sera capable de tenir l'arrêt sur n'importe quel gibier lâché mais ne sera pas réellement sage à l'envol et au coup de feu.
Il pourra donc effectuer sa première saison de chasse en votre compagnie, mais ne le brusquez pas. Ne lui demandez pas d'en faire autant et aussi bien qu'un vieux " briscard " et, s'il court sous l'aile ou se tape un oiseau, ne le punissez pas sévèrement ! C'est encore un novice qui a beaucoup à apprendre. Un conseil : laissez-le se passionner !
Contrepartie de votre choix : vous n'aurez pas vu grandir votre chien et son prix d'acquisition sera plus élevé.
Acquérir un Adulte dressé
Vous voulez un chien aguerri pour partir demain à la chasse ? Vous n'avez pas le temps de perdre une saison de chasse pour laisser un jeune se passionner ? Vous voulez un chien dont vous pourrez déjà mesurer le talent et les performances ? Alors n'hésitez pas. L'achat d'un adulte dressé est la solution qui vous convient.
Sachez toutefois que la rançon de son savoir est son prix. Et qu'il possède aussi un caractère plus forgé qu'un jeune.
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La chasse et le chien, 2 mots qui semblent à jamais lié tant l'exercice de l'un ne va pas sans l'autre.
Tant l'amour de l'un est lié à l'amour de l'autre ! Au delà de ses belles paroles, chaque chasseurs, ou presque, possède 1 ou plusieurs chiens de chasse.
Chien d'arrêt ou autre ? Parce que son chien de chasse sera un compagnon fidèle pendant de nombreuses années, aussi bien à la chasse qu'à la maison, il est utile de le choisir judicieusement.
Mais choisir un bon chien de chasse ne s'improvise pas.
Difficile de s'y retrouver dans l'éventail des 221 races de chiens de chasse et parmi les milliers d'éleveurs de l'hexagone. Comment dès lors faire son choix sans risquer de se tromper ?
Par exemple, contacter une connaissance possédant un chien de la race souhaitée et lui réserver un chiot de la prochaine porter ne garantit pas que celui-ci ne sera pas le fruit de l'accouplement avec le chien du voisin. Il est donc préférable d'éplucher les petites annonces des journaux locaux gratuits et de la presse spécialisée ou de surfer sur les sites internet, et bien sûr consulter votre association.
L'acquisition d'un chiot représente la solution la plus accessible, celle qui offre le plus grand choix et généralement la moins onéreuse. Encore que ce point nécessite d'être relativisé : les chiots de certaines espèces peu rependues ou à l'inverse très en vogue, présentant une robe particulière ou encore issus de lignées " prestigieuses " peuvent être parfois vendus au prix d'un adulte prêt à chasser.
Quoi qu'il en soit, le choix est vaste et le futur acquéreur peut compter sur le soutien et l'information prodiguée par les différents clubs de race. La plupart d'entre eux possèdent maintenant un site internet présentant les coordonnées des délégués locaux, les portées sélectionnées et les critères à prendre en compte avant l'achat.
L'inconvénient majeur de l'acquisition d'un chiot réside évidemment dans son inaptitude immédiate à devenir un auxiliaire de chasse efficace. Il faudra avoir la patience d'attendre deux à trois ans et lui prodiguer un dressage ad hoc pour qu'il puisse tenir ce rôle.
Quand à savoir si votre chien deviendra un " crack " à la chasse ou un authentique champion, seul l'avenir vous le dira. Si une éducation soigné et un dressage " aux petits oignons " valorisent au maximum les qualités naturelles du chien, ils ne peuvent changer les dispositions génétiques acquises à la naissance.
C'est vrai, les chiots sont tous " craquants ", on le sait bien. Et après avoir jeté son dévolu un peu à la va-vite sur un coup de tête et sur la charmante boule de poils présentée par un voisin, on en vient parfois à se demander si on a fait le bon choix.
Voici donc ici pour vous quelques pistes de réflexion pour un choix raisonné et vous garantir les meilleurs chances de disposer d'un auxiliaire efficace pour les prochaines années.
1 - Ai-je vraiment besoin d'un chiot ?
Question triviale, répondrez-vous. Il n'est pourtant qu'à consulter les associations de protection animale ou la presse pour se rendre compte du nombre de chiens abandonnés dans les refuges ou au détour d'un chemin lorsque la magie de la " petite boule de poils " a cessé de faire effet.
N'oubliez donc pas que votre achat vous engage pour de nombreuses années et non pas pour une seule saison de chasse ! Et que celle-ci passée, il vous faudra quand même vous occuper de votre compagnon, l'emporter avec vous en vacances ou lui payer une pension, lui assurer des consultations vétérinaires régulières et bien évidemment le nourrir.
Si déjà ces contraintes vous pèsent, n'allez pas plus loin. Abandonnez - toute démarche d'acquisition d'un chiot et quitter cette page !